Toutes spécialités confondues, 100 médecins ont signé ensemble un appel en faveur des cigarettes électroniques dans le cadre de la lutte contre le tabac. Ils n’ont pas manqué de porter leur avis sur les mauvais jugements affectés à l’égard de ces produits qui présentent des solutions contre le tabagisme.

On avait même précisé que cet outil pourrait aider un bon nombre de gens chaque année en France. En effet ? Les convictions se partagent entre eux que les pièces à vapoter constituent une méthode de substitut nicotinique par rapport aux autres. On confirme qu’il s’agit d’une invention bienfaisante pouvant sauver une part de l’humanité. Autrement, l’e-cigarette est moins dangereux par rapport aux cigarettes classiques.

Dans l’espoir des médecins

Cette invention ayant récemment vu le jour a rapidement gagné les consommateurs. Dans le monde, l’accueil chaleureux à l’égard de celui-ci est fortement gravé. Le chiffre bondissant franchit actuellement un million de vapoteurs en France seulement, soit une conversion considérable de quelques fumeurs. D’abord, il s’agit d’une solution économique, mais également une démarche pour la lutte contre le tabac.

Certainement, on ne nie pas qu’au début, les médecins ont partagé le scepticisme à l’égard des e-cigarettes, mais de temps en temps, ceci est modéré. Si certains restent réticents, c’est juste une question de principe. En effet, les médecins ont constaté le bienfait de ces dispositifs envers leurs patients. Les médecins sont contre le principe interdisant ces produits aux jeunes. Pour eux, au lieu d’être une porte d’entrée à la dépendance, l’e-cigarette serait plutôt un chemin pour les jeunes fumeurs d’arrêter le tabac.

La cigarette électronique : l’instrument rêvé !

Le Dr Philippe Presles confirme que l’e-cigarette est un moyen pour se lâcher de l’emprise du tabac. Sur une enquête personnelle qu’il aurait poursuivie auprès de quelques vapoteurs, il authentifie le succès de ces patchs électroniques avec une réduction des fumeurs par conversion totale ou par usage mixte et par la chute dans le marché du tabac.

D’où, avec le faible taux ou même l’absence de certaines substances nocives, les vapoteurs diminuent le risque d’attraper les maladies dangereuses liées à la consommation de tabac. Quelques substances alimentaires remplacent ces matières, telles que le propylène, le glycérol ou le glycol. Ces substances permettent de garder l’humidité.

Cependant, les producteurs de tabac ont tout essayé pour combattre cette invention qui leur aurait volé une part dans le marché avec des tiges sans danger. Ce qui est bien, c’est qu’on agit en faveur de la santé de tous.