Bon nombre de Français ont essayé l’usage de la cigarette électronique. En principe, le fait de « vapoter » remplaçant celui de « fumer » avait contribué à la promotion de l’antitabagisme. En effet, le fumeur en devenant peu à peu vapoteur réduit systématiquement la quantité de tiges de cigarette qu’il consomme régulièrement. En outre, on voit également réduire les ventes de patchs réels en 2013.
Un recul dans la vente de tabac roulé
Des chiffres enregistrés auprès de l’OFDTS ou l’Observatoire français des Drogues et des Toxicomanes montrent exactement cette baisse spectaculaire de 7,6 %. Cependant, même si on remarque une progression du tabac sur le marché, on constate un recul sur cette performance qui n’enregistre plus les mêmes progressions chaque année. Si la grande chute de la vente de cigarette enregistrée était pendant les années 2003 et 2004 par la hausse considérable des prix, ces derniers temps, on remarque que la filière avance moins vite depuis que la cigarette électronique fait apparition comme alternative remplaçant les vrais patchs.
D’où, on conclut que cette baisse est le fruit d’une hausse régulière des prix des paquets depuis ces quatre dernières années, mais on ne pourrait nullement négliger les apports des patchs électroniques mis en vente.
Les bienfaits de la cigarette électronique
Des témoignages en concluent les intérêts de la vapoteuse. Sur les 8 à 9 millions de Français qui l’ont essayé, on a enregistré un succès, selon les enquêtes lancées et menées auprès de quelque 2.000 individus âgés de 15 à 75 ans ayant tenté de vapoter.
À l’issu de ces enquêtes, on compte actuellement un nombre à peu près d’un à deux millions de personnes qui ont trouvé succès dans la filière cigarette électronique et qui sont devenues des vapoteurs, c’est-à-dire, ayant arrêté de fumer.